La prise en charge des maladies chroniques : à propos de quelques pathologies.
• La prise en charge du Cancer :
Les cancers représentent un archétype dans
les pratiques de soin. Maladie chronique par essence, maladie
nécessitant la participation de multiples intervenants, maladie
potentiellement létale mais avec des proportions croissantes de
guérisons au prix d’une iatrogénie fréquente, une maladie dont les
traitements altèrent la qualité de vie, …
Quelle est l’importance de l’activité du médecin généraliste autour du motif cancer ?
Quel fonctionnement et quelle articulation entre l’ambulatoire et l’institution spécialisée dans le domaine de la cancérologie ?
Quelle organisation territoriale pour assurer un suivi de proximité efficient et cohérent ?
Comment intégrer le médecin généraliste dans le suivi de l’après cancer ?
Jean Godard dans sa contribution nous fait des propositions.
Quelle relation avec le patient concerné directement ou indirectement par le cancer ?
Quelles vérités partager avec le patient ?
Philippe GUILLOU nous propose dans son
article « Le médecin généraliste, le cancer et la vérité » une
réflexion éthique à partir de son expérience.
Guillou P. Le médecin généraliste, le cancer et la vérité. In Les vérités du cancer. Psycho-Oncologie 2008 ;133-144
• La prise en charge du diabète :
Le diabète de type II est une pathologie
fréquente qui représente une activité importante en soins primaires. Il
apparait comme emblèmatique de la prise en charge des maladies
chroniques. Des recommandations existent, l’ETP s’est développé et
pourtant tous les patients ne bénéficient pas d’une prise en charge
optimum. Quelles en sont les cause ? Qulles solutions ?
Comment passer d’une consultation ponctuelle à une programmation stratégique de la prise en charge ?
Quelles propositions concrètes pour améliorer ces prises en charge ?
«
Médecine Générale et diabète de type 2 : une maladie chronique, des
prises en charge complexes: un éclairage sur de noiuveaux paradigmes de
la consultation.
• Les inégalités sociales de santé :
Les inégalités sociales de santé sont une
réalité en France. Elles sont parfois difficiles à percevoir, au- delà
des aspects criants de la grande précarité. Les acteurs des soins
primaires se doivent de prendre en compte ces inégalités pour adapter
leur prise en charge. Ils peuvent ainsi participer à la réduction des
ISS, ou tout du moins ne pas contribuer à les accroître. Cette prise en
compte nécessite d'adopter une attitude pro-active pour recueillir des
informations et ainsi connaître la situation sociale des patients ;
puis adapter si besoin ses pratiques.
Comment identifier les facteurs d'inégalités socales de santé ? Comment les consigner dans le dossier médical?
Pourquoi et comment enregistrer la situation sociale dans patient audulte en médecine générale ?
Page mise à jour le 31 mars 2014.
|
Collège de la Médecine Générale - CMG
20, rue de l'Hôtel de Ville
92200 Neuilly-sur-Seine
Téléphone : 01 47 45 13 55
email: contact@lecmg.fr |